Voilà le texte coquin suite a l'exercice d'ecriture propose par Plume qui entante. Bon les filles ne soyez pas choquer je m'exerce a la littérature erotique. C'est un bon stimulant pour la libido et puis il y a des chose fort sympatique.
Pour les pervers qui tomberons dessus vous pouvez partir c'est un blog sur femme infertile au gondole graisseuse donc rien de porno .
Je m'impatiente à chaque fois, ce rendez vous à quelques choses de magique. J'aime cette sensation d'excitation. Je la canalise en me promenant dans les alentours de mon lieux ou je peux enfin exploser.
Je m'installe dans ce café ou je guette cette horloge son tic tac berce mon humeur chaque mouvement de l'aiguille rythme ma réjouissance. L'observer ne me lasse pas bien au contraire, elle marque le temps qui reste avant le franchissement d'un cape. Celui de la délivrance !
L'heure sonne comme un triomphe, je me lève fébrile, et marche d'un pas pressé quelques mètre. Je fait le code, la porte s'ouvre plus que quelques instant avant de le libérer. Je sens mes palpitations s'accentuer, je prends une grande inspiration avant de sonner. Un bonjour m'accueille, je sourit d'égayement M. le Libérateur me demande de m'installer sur le divan, enfin me voilà permise a l'exaltation. Je m'allonge sereine, je sais qui va éclore tout seul, soudainement les mots s'échappe.
Ainsi, je raconte mon fantasme :
"Dans cette robe en mousseline noir moulante je suis assise sur un fauteuil à la texture soyeuse. Une flutede champagne à la main je me sens belle, attirante, bandante. Je se sens que cette soirée dans ce club privé va être satisfaisante. L'ambiance tamisée est envoutante ce qui me donne des frissons.
Le directeur s'approche de moi pour me proposée un cigare digne d'un grand cru. Ce que je refuse, je préfère allumé un cigarette que je consume avec mes lèvres pulpeuse maquillé d'un rouge vif. Il me demande si je suis contente de tout cet escadronde male viril près à me faire voyagé de le pays de la luxure. Je lui fait comprendre que oui en posant mon regard sur ces apollons, en les scrutant; j'aime se pouvoir, je sens leurs désirs, les faire languir assouvie mon égo. Je joue avec mes jambes, je les croisent et décroisent ce qui laissent entrevoir ma dentelle.
La température monte d'un cran, leurs pupilles se dilatent des bosses apparaissent a travers leurs fûtes. Je constate la matière, j'ai envie de la tâter; celle de ce beau brun ténébreux au teint mate qui est galber comme un romain m'attire. Je m'approche de lui pour l'embrasser langoureusement, son baiser est agréable. Je lui fait un clin d'œil, il sait que mon choix est fixer alors nous dirigeons vers les ascenseurs pour monter dans une chambre du club. Nous avons du mal a contenir notre étreinte, il me plaque contre la parois de la cabine et mange ma bouche, cou, mes mains se baladent sur son corps. Je commence a défaire son pantalon que nous sommes déjà arriver à l'étage. Nous sortons sans se défaire, ouvrir la porte de cette chambre est nécessaire une tornade de plaisirs tourbillonne en nous. Lorsque la porte s'ouvre enfin cet avec vivacité que nous nous déshabillions pour nous enlacer contre chaque recoin de la chambre aucun objet résiste à notre pulsion. Nous nous cognons contre la table de chevet avant de tomber sauvagement sur le lit. J'écarte mes jambes vigoureusement pour titiller ma fleurs. Il bouscule la lampe de chevet pour mieux la contempler. Elle est humide ses doigts l'effleurent avec douceurs, il lèche son petit boutons rose. Mon basin virevolte dans tout les sens je contrôle plus rien. J'attrape son gourdin bien dur que je mordille, je suce, je promène ma langue entre ses bourses, je joue avec elle. Je met son dard entièrement dans ma bouche je sens l'afflux sanguin monter. Il est près pour rentrer dans fente qui dégouline du jus de la passion. Il le fait glisser dans mon entre jambe, mon bas ventre se contracte à chaque mouvement. Mes mamelons son tendu dans sa bouche. Nos coups de reins s'accélèrent au rythme de l'excitation. Elle est a son comble, j'explose de bonheur, sa semence jaillie dans ma fontaine. J'en ai le vertige."
Je suis essouffler comme une marathonienne. Je reprend mon souffle doucement, j'ai pu vivre mon fantasme en le racontant, mon libérateur me propose un autre rendez vous dans une semaine. Je me sens légère, je vais pouvoir me remplir d'un autre ...